Les deux hélicoptères Black Hawk de la 101e division aéroportée ont quitté Bagram il y a un quart d'heure. Des blessés à évacuer de Djalalabad, non loin de la passe de Khyber, à la frontière pakistanaise. Altitude de vol : 300 mètres. Vitesse : 250 kilomètres/heure. Dans le premier appareil, entièrement médicalisé, deux infirmiers urgentistes préparent leur matériel. Dépourvu d'armement, car il arbore une croix rouge (ainsi que l'exige la convention de Genève), il est protégé par le second Black Hawk, où officient des mitrailleurs de porte. Ceux-là scrutent le sol, pointant leur létale machine sur tout ce qui semble hostile ou suspect, prêts à distribuer généreusement leurs 400 cartouches de 7,62 mm aux éventuels fâcheux.
Un paysage bucolique et enchanteur qui ferait le délice du photographe Yann Arthus-Bertrand, défile sous nos yeux. Dans les vallées, que le printemps réveille, les parcelles taillées au cordeau dessinent des figures géométriques. Dans les villages, des gosses en haillons émergent des cahutes et s'égaillent dans les champs pour suivre, l'espace de quelques secondes, le passage de ces gros insectes issus d'un autre monde. Puis viennent les contreforts de l'Hindu Kuch, dont les hauteurs sont encore enneigées. Des sommets de 3 000 à près de 8 000 mètres. Les Black Hawk longent les crêtes, doublent les cols, majestueux mais vulnérables : ici, la distance qui les sépare du danger s'amenuise, les plaçant à portée d'une roquette RPG, leur souci premier.




Des soldats qui sortaient d'une académie militaire portant le nom hyzhak rabine, ont publié leurs récits dans la lettre d'information publiée par cette institution. Parmi les témoignages repris par les médias israéliens - 




Après les site de


M. arrive au rendez-vous dans un café branché de Dubaï en djellaba blanche, la tenue traditionnelle du vendredi, jour de prière en islam. «Si j'étais resté en France, on me regarderait bizarrement. Ici, cela ne gêne personne, et moi, cela ne me dérange pas de voir des filles en minijupe, assises à côté de nous», reconnaît cet ingénieur en télécommunications, silhouette élancée, cheveux courts et barbiche d'adolescent. On l'imagine aisément en costume-cravate, ne déparant pas dans l'univers des affaires de Dubaï. Issu d'une famille d'origine algérienne de la région parisienne, M., 27 ans, s'est installé fin 2006, après un passage par l'Égypte, où il apprit l'arabe classique, viatique indispensable pour s'intégrer dans le Golfe. Son épouse et lui habitent un immeuble moderne de cette ville où les mosquées côtoient les plus beaux hôtels du monde.
Responsable mais racheté. Le Conseil d'Etat a estimé ce lundi que la «responsabilité» de l'Etat français était engagée dans la déportation des Juifs sous le régime de Vichy, mais qu'il avait depuis réparé, «autant qu'il était possible, l'ensemble des préjudices».


Les pompiers australiens luttaient toujours contre les flammes, ce mardi dans le sud-est du pays. Un dernier bilan fait état de 181 morts, alors que les autorités ont lancé une vaste enquête sur l'origine, vraisemblablement criminelle, de certains feux.























